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Class of 1968, On the Internet (Part 3 of 3): Françoise RouillonThéâtre de l'Ombrelle DISCIPLINE ET TECHNIQUE ARTISTIQUES, ÉQUIPEMENT, THÉÂTRE PROFESSIONNEL L'équipe Directrice artistique : de Andia Florence Directrice artistique : Blanchet Colette Directrice artistique : Vallery-Masson Sylvie Directrice artistique : Rouillon Françoise Relations publiques-Diffusion : Lagrange Sophie Présentation 1975 : c'est la rencontre de 3 femmes : Florence de Andia, Colette Blanchet, Sylvie Vallery-Masson, qui ont mis en commun leurs expériences de graphistes et de danseuses pour expérimenter"" à partir d'une technique traditionnelle, le Théâtre d'Ombre. En 1986, Françoise Rouillon, marionnettiste et comédienne rejoint la compagnie. Le Théâtre de l'Ombrelle réalise depuis 15 ans des spectacles d'ombres en direction du jeune public, qui sont joués en France et à l'étranger. Plusieurs disciplines se mélangent : danse, mime, travail sur les masques, les marionnettes, les objets, recherches graphiques et plastiques avec les décors, jeux de lumière et d'illusion... Il tire son originalité de son travail corporel en ombre, et en cela se situe à mi-chemin entre le théâtre de marionnettes et le théâtre d'acteur. Principaux spectacles : LE CHAT NOIR (1978) ; VOL DE LUNE (1981) ; HISTOIRE DE MAUVAIS TEMPS (1985) ; ""A TOI DE CHANTER MIGNONNE"" (1987) ; UN LA PIN SANS QUEUE (1988) ; LA PLANETE KOKOMO (1990) ; ""PAS SI BETES"" (1991) ; LE CHEVALIER AU LION (1994) ; DERRIERE LA PORTE (1996)."" ********************************************************************* Petit délice d’ombres par Nathalie Demichel Savoureux spectacle que ce “Ouvre moi la porte”, créé par le Théâtre de l’Ombrelle. Vous y dégusterez une histoire loufoque et poétique tirée du conte n°4 d’Eugène Ionesco, la légèreté de la musique d’Eric Satie jouée par le pianiste Jérôme Boudin et mêlée de ses improvisations, et surtout l’habileté, l’invention des actrices manipulatrices que sont Colette Blanchat, Françoise Rouillon, Sylvie Vallery-Masson. Ombres, photographies et silhouettes humaines se profilent sur trois grands écrans tout au long d’un récit où une petite fille tente d’attirer l’attention de son père. Le spectateur bascule dans un monde ou rêve et réalité s’entremêlent. Le travail réalisé par le Théâtre de l’Ombrelle montre s’il en était encore besoin que le spectacle pour enfants n’est pas un sous-genre. On en redemande. SOURCE: www.cnt.asso.fr, AND http://www.plumart.com/vf0499/html/body_51b.html |
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